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Après la SC74 CITES (7 – 11 mars 2022): défi de l’IWMC au lobby de la prohibition

La 74e session du Comité permanent de la CITES à Lyon, en France, a confirmé la corruption de la CITES par les prohibitionnistes engagés dans la subversion de ses buts. Par exemple, la SC74 s’est fourvoyée en demandant l’interdiction des marchés intérieurs d’ivoire et de corne de rhinocéros et, en l’absence de tout pouvoir, compétence et preuve de relation, la fin de tout déplacement et de gestion d’animaux sauvages, sous prétexte de la pandémie COVID-19.

Les prohibitionnistes prétendent que la seule façon de combattre le commerce illégal des espèces sauvages est d’en interdire le commerce légal, parce que c’est lui qui crée la demande à laquelle répondent les braconniers et autres criminels. Cet argument est fondé sur la conviction et l’idéologie plutôt que sur des preuves scientifiques et empiriques. D’après cette conception des choses, l’exploitation des animaux sauvages pour le bien de l’homme est moralement erronée, parce que, comme le dit Born Free, ‘tout animal sauvage mérite de pouvoir vivre en liberté, avec ses semblables et selon leurs besoins’.

Cette façon de voir les choses des prohibitionnistes est incompatible avec les principes fondateurs de la CITES, qui donnent pour acquis, jusqu’à preuve du contraire, l’efficacité du commerce des espèces sauvages. Pour s’assurer que la critique du camp des prohibitionnistes par l’IWMC est justifiée, nous lançons un défi aux ONG et autres acteurs qui ont fait la loi à la SC74. Nous les prions de bien vouloir répondre aux dix questions suivantes :

Il revient maintenant aux ONG et à leurs supporters – qu’ils soient ou non Parties à la CITES – de répondre à ces questions, parce que c’est à eux que la charge de la preuve s’impose. Ce qui est intolérable, c’est que le but premier de la CITES puisse encore être détourné sans preuve par des idéologues.

Il y a 10 questions dans ce questionnaire.